L'arrivée.

Bon ! Je décide dons de commencer !
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Mes pas sont lourds, je me sens fatiguée..... Où m'emmène t-il ?
Dex: Ca y est, on y est.
Moi: ....
Nous nous arrêtâmes devant une grande porte, blanche et épaisse.
Dex: Bah,..Tu l'ouvres ?
Moi: Hum,...
J'ouvris donc la lourde porte, à ce moment là, un puissante vague de lumière m'assaillit, m'aveuglant. Sur moi, s'ouvrit une grande salle, blanche. Du haut de son comptoir, une femme me fixais longuement avec une scarface.
Secrétaire: T'es qui toi ?
Moi: Mon nom est Luka.
Secrétaire: Qu'est-ce que tu fais là ?
Moi: Euh....Je
Dex: C'est une nouvelle élève, vous savez, je vous en ait parlé hier. Elle,
Secrétaire: Oh ! Professeur Dex ! Comment allez-vous mon chou ?
Dex: Euh, bien, merci de vous en inquiéter.
Secrétaire: Mais voyons ! Évidemment que je m'inquiète pour vous ! C'est tout à fait normal ! Je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheur.... *petit regard explicite*
Dex: Bah,...Merci. Donc voici Luka, elle a 16 ans et nous avons convenue qu'elle serais inscrite à la rentrée, c''est à dire aujourd'hui.
Secrétaire: Ah, oui. Bien venez par-ici, je vais commencer le questionnaire et le test d'aptitudes.
Moi: Le test.....d'aptitudes ? Quézaquo la vieille ?
Secrétaire: Oh ce n'est qu'une formalité pour déterminer votre classe, c'est tout ! Veuillez bien me suivre et entrer par là.
Moi: Ah.....ok

J'entrit donc dans une petite pièce et m'assis sur une chaise ressemblant à une chaise de torture moderne. Soudain, des bracelets se fixèrent sur mes bras, mes jambes et mon cou.
Moi: !!!! *je ne peux plus parler ni crier !!!!!*
Secrétaire: Ne t'inquiètes pas, je ne vais pas te faire de mal. C'est simplement un prélèvement ADN, ou d'âme plus précisément.
Moi: ! *HEIN ?!! POURQUOI ?!*
Secrétaire: Pour entrer dans cette école, tu dois nous donner ton âme, et pour cela nous avons besoin d'un prélèvement.
Moi: *Ah, je me souviens que Dex-san m'avait parlé d'un truc dans le genre...*
Secrétaire: Bien, on dirait que tu te souviens maintenant, je peux donc commencer. Attention, ça risque de piquer un tout petit peu.
La secrétaire timbrée sortit donc une sorte d'appareil qui ressemble un peu au tournevis sonic du docteur Who. Elle l'approcha de ma tempe et une horrible douleur semblable à celle d'une aiguille large comme un stylo me passa par la tête. J'essayais de crier à l'aide ou au secours mais je n'arrivais pas à parler. La douleur persistant la secrétaire me parla.
Secrétaire: Tiens, ton âme est plus dur à extraire que d'habitude. On dirait que tu as un gros poids sur la conscience.
Moi: *AAAAARRRRRRRRGH !!!!!!!!!!!!!!! CETTE DOULEUR EST INSUPORTABLE !!!!*
Secrétaire: Encore quelques seconde.....voila c'est fini.
Un énorme soupir de soulagement s'échappa de ma bouche.
Secrétaire: Oh ! Ne te réjouie pas trop vite ! Il faut encore que je te fixe ta petite puce électronique pour te recenser !
Moi: *Pardon ?!*
Secrétaire: Je vois qu'on ne t'en a pas encore parlé, c'est une petite nouveauté de cette année, tous les élèves se voient incrusté une puce électronique dans la molaire pour ne pas les perdre de vue. Tu connais déjà le système et le but de cette école n'est-ce pas ? Tu dois donc comprendre l'utilité de cette merveille. Attention ouvre grand la bouche, ça va encore piquer un peu.

L'appareil se mit en marche et il créa une puce avec une partie de mon âme pour constituer ma propre puce. Elle l'insérât dans ma dent. Cela faisais mal, mais pas autant que le prélèvement d'âme. L'opération terminée, les bracelets s'enlevèrent.
Moi: Mais, vous êtes fous !!! Ça fait atrocement mal cette putain d'initiation à la con !!!
Secrétaire: je sais, je suis moi même passé par là. Tu peux sortir par cette porte.
Moi: *soupir* ok.

J'ouvris la porte et là, m'attendait en toute fidélité amicale Dex-san.

C'est votre tour ! ^^

[edit akira]je me permets juste pour le rp, je voudrais te demander si tu à déjà fait des rp? Puis si tu à était validé? Si jamais c'est ta première fois viens auprès de moi pour que je vienne en aide, aute chose ne fait pas parler ou bouger le perso d'une autre personne, amicalement aki~[edit akira]

/RP SUPPRIME, PERSO N'EXISTANT PLUS/

@Mia: Merci ^^ J'ai essayée de faire des efforts niveau écriture parceque la narration c'est pas trop mon truc ^^"

Sinon, J'aime assez, mais je pense que tu n'as pas beaucoup respecté le caractère de Dex, enfin je pense (de plus il n'a pas de lunettes ! Enfin je crois) . Il faudrait qu'il la lise et qu'il te dises ce qu'il en pense.
Je pense également qu'on devrais créer un topic pour tout le forum pour la "vue d'ensemble" de l'école. Moi je la voyait plutôt moderne du genre futuriste alors que je pense que tu la vois plus "traditionnel" ( immenses plafonds comme à l'époque. )
Ai-je raison ?

17h05


La journée de cours venait de se terminer. A cette heure là, le grand hall du pensionnat grouillait de monde. J'était adossée au mur, ressentant l'aura des autres. C'était devenu une habitude, quand je ne savais pas quoi faire. L'ensemble était plutôt joyeux. J'était contente de voir que ma deuxième année dans l'école commençait bien. Puis une petite fille, plutôt mignonne, s'avança vers moi:

??? : Pardon... Je m'appelle Mia Cardin, et...
Moi: Tu es la nouvelle, n'est-ce pas? J'ai entendu parler de toi *je lui offrait un grand sourire, voyant son malaise* Je peux t'aider?
Mia: J'aimerais savoir où est le bureau de la secrétaire, s'il te plaît... Je ne le trouve pas...
Moi: *Elle n'y est pas déjà allé pour s'inscrire? Bah...* Bien sûr! Viens, je vais t'y emmener!
Mia: Merci...

Devant le comptoir de la secrétaire:

Moi: Pardon de vous déranger, mais...
Secrétaire: Quoi encore?
Moi: C'est pour la nouvelle, Mia.
Secrétaire: Qu'est ce qu'elle veut?
Mia: En fait... Je viens d'ariver, et j'aurais besoin qu'on m'attribue une chambre...
Secrétaire: As tu fais une demande pour être avec quelqu'un?
Mia: Non...
Secrétaire: Mais il faut bien que tu dormes quelque part! Bon, tiens *lui tends une clé* c'est la 206.
Mia: Merci... Mais, où se trouve-t-elle?
Secrétaire: T'as qu'à demander à Misora! Elle t'accompagne pas pour rien, j'imagine.
Mia: D'accord... Au revoir!
La femme ne répondit pas, et retourna à ses dossiers.

Un peu plus loin:

Mia: Quelle peste!
Moi: Ahah! Tu verras, à la fin tu n'y feras même plus attention. Mais dis moi, tu viens d'où, pour arriver comme ça?
Mia me raconta un peu son passé. Elle était orpheline depuis sa naissance, jusqu'à ce que, à ses trois ans, elle se fasse adopter par une famille de riches. Ensuite, elle avait changé plusieurs fois d'écoles, pour diverses raisons, avant d'arriver ici.
Moi: Je vois... Et donc tu es trop jeune pour te faire enlever ton âme...
Mia: Pardon?
Moi: Je voulais dire, pour entrer dans une classe spécialisée. Sinon, tu as tes bagages?
Mia: Ils sont dans un garde-meuble, et ne devraient pas tardés à êtres livrés.
Moi: Carément... Bon, viens, on va la trouver, cette chambre!
Mia: D'accord ^^
Et nous partîmes vers les escaliers.


P.S.: J'avait demander avant à Mia si je pouvait utiliser son perso, donc pas de problèmes! ^^

à Tima' : Oh, de rien ^^ C'est vrai que je n'ai pas fais trop attention au caractère... Excusez-moi !

à Régly : Hi, c'est chou ^^. Sauf que Mia se fait adopter à ces 3 ans et non à 6 !

Voilààà, j'ai tout refait 8D Plus de chichi avec le caractère de Nico *3* (ouaiiis)

L'arrivée de Dilaw.
Personnages apparaissant : la secrétaire (d'ailleurs je m'excuse à l'avance de tous les mots pas gentils que j'ai écrit sur elle), et une fille inconnue. J'ai tenté de respecter au mieux la description de Tima' pour l'extraction d'âme.
Je tiens juste à vous rappeler que Dilaw n'a pas lu le dossier en entier (c'est d'ailleurs pour ça qu'elle se retrouve prof d'art), et elle n'est pas au courant de cette donation d'âme /LOL/.
J'aimerais faire la suite en compagnie de Zira, pour les fameuses explications.
Sur ce, bonne lecture.

La file d’attente à l’accueil était longue. Trop longue. Je maudissais ces lois sur les espaces non fumeurs, les cigares accrochés sur ma veste me criaient de les allumer. Il faisait chaud aujourd’hui, un peu plus que d’habitude. Je regardais les gens, les élèves qui passaient. Je me demandais sérieusement si j’allais bien m’adapter ici. Mais, pour le salaire, je pense qu’un effort ne sera pas impossible. Mon tour arriva enfin, et je pu m’approcher de la tant convoitée secrétaire de l’école. Elle avait un décollette un peu trop penchant à mon goût, ce qui ne manqua pas de m’énerver. Des garçons de presque vingt ans étaient passés avant moi, je me demandais si elle se rendait compte de cette vulgarité à laquelle elle incitait !
« -Bonjour, me dit-elle d’un air las. »
Pouffiasse.
« -Bonjour… Je viens parce que je suis sensée remplir la dernière formalité avant de devenir professeur ici.
-Votre nom ? »
Ah, et cette voix agaçante… J’eu envie de la frapper, mais je me retins : cela aurait fait mauvaise impression.
« -Dilaw Valtameri.
-Ah, oui… Je dois avoir votre dossier quelque part. »
Elle fouilla un moment dans son bureau et en sortit un liasse de papier assez fine.
« -Voilà. Allez attendre dans la salle d’attente à droite, je vous pris. »
Je ne mis pas longtemps à trouver la fameuse salle. Une jeune fille se tenait non loin, apeurée et transpirante. Je me demandais ce qui lui faisait peu à ce point. Mais, au moins, je ne pense pas qu’elle m’embêterait. De plus, elle portait un jean et un tee-shirt à manche longue. Et ça, c’était correct.
« -Je peux fumer ? »
Elle me dévisagea, ravala sa salive, et me fit « oui » de la tête. Oh, bonheur ! J’entrepris de chercher mon briquet, et alluma, satisfaite, mon septième cigare de la journée. La secrétaire vue à l’entrée apparut dans la pièce. Elle soupira. De dépit, je lui cracha la fumée dans la tête quand elle s’approcha près de moi. Elle se dirigea finalement vers la fille, puis se retourna vers moi.
« -Il est interdit de fumer dans l’établissement, veuillez éteindre cela tout de suite, merci. »
J’éteignis mon cigare, à regrets. Elle prit la fille par le bras et l’emmena vers une autre pièce. Je m’empressais rallumer ce dont elle m’avait priver. Cette femme me répugnait. Elle devait faire prostituée à ces heures perdues. Je n’entendais plus rien. Si la secrétaire était entrain de tuer la fille… Je la tuerai après. Mais elle fini par se montrer. Cette abrutie. Elle ne manqua pas de me rappeler que fumer était interdit, et m’emmena dans cette fameuse pièce. Une sorte de chaise était installée au milieu, moderne et à la fois apeurante. On aurait dit l’un de ces nombreux moyens de torture, utilisé lors des guerres. En plus moderne, certes. Une drôle de sensation me disait que tout ça n’allait pas être une partie de plaisir… Suivant les ordres de la secrétaire (en même temps, je n’avais pas le choix.), je m’assis sur cette mystérieuse chaise. Un petit bruit se fit entendre, comme un mécanisme qui se déclenchait, et tout à coup, je sentis mes bras, mes jambes et mon cou se coller contre le siège, poussés par une force… Des bracelets entouraient mes membres. J’essayai de protester, en vain, ma voix avait… Disparu. La « miss pupute » m’accorda son plus beau sourire, pris mon dossier, et le lu.
« -Alors, prof’ d’arts, hein ? Bon, ben je vais procéder à l’extraction… »
COMMENT CA PROFESSEUR D’ARTS ? J’étais pas censée être dans la construction, moi ? Elle mit des gants, puis rapprocha un engin bizarre de moi, et me sortit son expression la plus sadique. Elle voulait faire quoi, au juste ? Et puis, c’est quoi cette histoire d’extraction. Je ne pouvais pas me débattre, les liens étaient trop sérrés. Elle colla cet espèce de tournevis près de ma tempe. J’eu l’impression que ma tête explosait. Elle enfonça encore un peu sa machine bizarre, et semblait totalement se foutre du fait que cette douleur était… Atroce. Le nom du monde était souffrance, c’était horrible. Au bout de quelques secondes qui me parurent des siècles, elle enleva cette chose de ma pauvre tête et me dit en sortant toutes ses dents parfaitement blanche :
« -Bon, il ne reste plus que la puce, maintenant. »
Et du temps que je me remettais du choc que je venais de subir, elle fourra sa main dans ma bouche, et me l’écarta au maximum. Je fis tout pour la morde, et elle le sentit.
« -Vous le voulez, ce poste ? Laissez-moi faire, c’est presque finis ! »
Et avec son engin de torture suprême, je sentis cette fichue puce s’installer tranquillement (et douloureusement) dans une de mes dents. Puis elle retira la machine, et les liens se desserrèrent un à uns. Je sautais de cette fichue chaise, et adressa un regard noir à la secrétaire, sentant mes poings se serrer.
« -PUTAIN MAIS C’EST QUOI CE BORDEL ? VOUS VOUS RENDEZ COMPTE DE CE QUE VOUS VENEZ DE ME FAIRE ? CA FAIT UN MAL DE CHIEN, CE TRUC !!! »
Et, toujours détendue, elle se retourna vers moi.
« -La sortie est par là. »
Elle m’indiqua une porte mais ne fut pas étonner du fait que je restai devant elle, prête à la faire saigner.
« -Je sais bien que cela fait mal, on est tous passés par là. Maintenant, si vous voulez bien, j’aimerais finir ma journée et rentrer chez moi. Allez voir la directrice, elle vous donnera des explications. »
OH QUE OUI ! DES EXPLICATIONS TIENS ! Je m’empressais de sortir, en prenant bien soin de claquer la porte derrière moi. De toute manière, si j’étais restée, j’aurai commis un meurtre, et cela aurait voulu dire pas de salaire.